Cette année là : 2011 chez Eureka

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

Ça faisait longtemps, non ?
D’ailleurs, Bénédicte m’en faisait la remarque pas plus tard que tout à l’heure :

-« Pierre ! » me disait-elle,

[ce qui a contribué à m’inquiéter parce-que lorsqu’elle m’aime bien, elle me dit plutôt : « Pierrot ! »]

-« Tu ne crois pas qu’il serait bientôt temps de laisser un nouveau message sur le blog ? De souhaiter une bonne et heureuse année aux gens ?« 
-« Mais que vont penser tous les lecteurs qui nous soutiennent ?« ajoutait-elle d’un air de pas rigoler…

A ce moment de mon récit, je me dois de te donner quelques menues explications, Ô Lecteur mon ami : en effet, tu dois savoir que Bénédicte & moi avons ouvert ta nouvelle librairie Eureka Street au mois d’août de l’année dernière. Et que l’un sans l’autre on ne serait pas grand chose…et, surtout moi…

Aussi, lorsque Bénédicte me fait ce genre de remarque, je l’écoute !
Un peu comme dans l’expression : « Quand les types de 100 kilos parlent, ceux de 50 écoutent. »
Sauf que là, c’est l’inverse, mais ceci est une autre histoire…

Or donc, tes libraires préférés se démènent comme des beaux diables pour résoudre la quadrature du cercle, et tout en même temps gérer le quotidien de leur petite entreprise, inventer le fil à couper le beurre, mais aussi publier sur ce blog, animer le facebook, écrire des petits mots sur les ardoises, acheminer le camion-librairie-itinérante sur ses lieux de pâture, rédiger des demandes de subventions (on a le droit de rêver, non ?), lire, lire, lire et tutti quanti : en bref, on a du boulot !

Mais surtout, surtout, il nous faut tenir la promesse de faire d’Eureka Street un lieu vivant de rencontres avec des éditeurs, des musiciens et des acteurs, et des écrivains !
Alors il faut que tu saches, Ô Lecteur mon ami, que ce n’est pas pour nous remettre de je ne sais quelles agapes et autres fatales orgies de fin d’année que j’ai tant tardé avant de t’écrire ce petit mot : c’était pour être certain de pouvoir t’annoncer de bonnes nouvelles :

En février (?), les éditions Grasset nous font l’honneur d’inviter Véronique Olmi à lire quelques extraits de son dernier livre dans notre belle librairie !  Cet été là : comme chaque année, trois couples d’amis passent le 14 Juillet au bord de la mer, à Agon-Coutainville.
C’est un rite immuable et léger. Une parenthèse joyeuse. Cet été-là, pourtant…
A partir de cette trame Véronique Olmi bâtit un roman qui parlera au cœur de tous ceux qui traversent « le milieu du chemin de la vie« . On pense aux meilleurs films de Claude Sautet, avec le bruit du temps qui passe et des amours qui se défont. ( Grasset )
La date de cette rencontre reste à fixer…
En Mars (?), nous allons fêter dignement les 20 ans des éditions Zulma (éditeur honfleurais de Rosa Candida, de Là où les tigres sont chez eux et bien d’autres…).
Nous présenterons le fonds des éditions Zulma à la librairie : Eureka se parera pour l’occasion des couleurs des jolies couvertures de Zulma, puis nous recevrons Laure Leroy, directrice littéraire, accompagnée d’un auteur maison (mais chutt ! Nous en reparlerons). ( Zulma )
La date de cette rencontre reste à fixer…
En Avril (?), nous souhaitons inviter Patrick Pécherot, auteur de romans noirs aux éditions Gallimard, pour la sortie de son dernier livre : L’Homme à la carabine (le 10 février).
« L’Homme à la carabine donc, c’est le dernier venu dans la bande à Bonnot : André Soudy, il n’a pas vingt ans. Pendant le hold-up de Chantilly, il tient la foule en respect, d’où son surnom ! » « Ses histoires d’amour finissent mal et il est « tubard » jusqu’à la moëlle… L’esprit très titi parigot, mais la poisse incarnée ! Il se met dans la bande à Bonnot dans la dernière ligne droite, quand ils ont déjà toute la police aux fesses. » (cf : http://pecherot.com/ ) : Paris populaire, mémoire sociale, dialogues ciselés, atmosphères atmosphères ! Nous avons hâte de vous donner à découvrir les romans de Patrick Pécherot.
La date de cette rencontre reste, vas-y, devine ?… à fixer…

Tiens au fait ! J’y pense : Nous sommes le 27 janvier 2011, et j’ai encore le droit, sans paraître malpoli de te la souhaiter bonne, la 2011, non ? 
Alors daigne ici recevoir, Ô Lecteur mon ami, tous nos vœux de bonnes lectures pour cette année 2011 !!!

2 réflexions au sujet de « Cette année là : 2011 chez Eureka »

  1. et bien… merci bien, à vous aussi puisqu'on y est ! (même si on est maintenant en février, ça marche toujours, non ?)

Les commentaires sont fermés.