Le Livre de l’été : Venez en discuter avec nous ! (le 4 juillet)

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

Les vacances approchent, et avec elles, le besoin d’évasion, l’envie d’ailleurs, de soleil, de chaleur (!!!) se font désirer (encore) plus fort.
Alors quoi de mieux qu’une bonne pile de bons romans à glisser dans sa valise ?

Mais pour choisir un bon roman, il faut un bon libraire ! Non ?
Alors, pour mieux choisir LE Roman de l’été, nous t’invitons le jeudi 4 juillet, à partir de 18h30, à la deuxième édition de notre soirée : Roman de l’été !!!

Venez
seul ou accompagné, venez prendre des idées
de lectures et nous en donner :
venez trouver les livres qui rempliront vos valises !
A jeudi ? On compte sur vous.

rencontre avec Camille Cellier pour son livre, co-écrit avec Didier Pleux, Deux à combattre l’anorexie

Tu sais Ô Lecteur mon ami que nous ne lisons quasiment que des romans…
Tu sais aussi que nous ne sommes pas du tout spécialistes en sciences humaines…
Et pourtant, le journal de cette thérapie composé des interventions de Didier Pleux et des écrits et dessins de Camille Cellier m’a passionnée.
Voilà, en fait, comme toujours, c’est l’humain qui nous intéresse et quand l’humain est une jeune femme qui veut devenir écrivain…

Camille Cellier, que nous avons souvent vu en librairie tout au long de
ses années difficiles, est venu nous parler de son livre à sa sortie :
son thérapeute lui avait promis de faire ce livre si elle retrouvait
le goût de vivre.
L’anorexie est un long combat qui ne se gagne pas seul.
Pour la première
fois, un psychothérapeute et sa patiente, jeune femme anorexique, racontent ensemble leur cheminement
vers la guérison. Comment sort-on de l’anorexie ? Comment reprend-on
goût à la vie ? Cette plongée dans le secret de la consultation permet
d’assister à une confrontation passionnante de la patiente et du psy.
Dans
ses écrits ou ses illustrations, Camille dévoile ses angoisses, ses
résistances, ses victoires, ses doutes, et nous laisse voir de
l’intérieur cette lutte conflictuelle pour guérir et retrouver le désir
de vivre. Car une psychothérapie est un combat qui exige des remises en
cause de part et d’autre : pour la patiente, se confronter à la réalité
de la vie, et pour le psy, accepter le patient dans toute sa complexité
pour l’aider à renaître. Un immense défi relevé à deux.

Camille Cellier est auteur de nouvelles et d’albums pour la jeunesse. Elle trace son chemin libérée de l’anorexie.

Didier
Pleux est docteur en psychologie du développement, psychologue
clinicien et un auteur de référence en matière d’éducation. Il dirige
l’Institut français de thérapie cognitive. Il est l’auteur de plusieurs
succès parmi lesquels : De l’enfant roi à l’enfant tyran, Exprimer sa colère sans perdre le contrôle, Un enfant heureux, De l’adulte roi à l’adulte tyran

Rendez-vous mercredi 5 juin à 18h30

rencontre avec Camille Cellier pour son livre Deux à combattre l’anorexie, éditions Odile Jacob.

Bientôt chez Eureka Street, la soirée tant attendue : 
« lectures d’été »

Julie Wolkenstein, mardi 14 mai : On a vraiment envie de partager cette lecture avec vous !

Salut à
toi Ô Lecteur mon ami,
tu nous
connais, nous aimons te proposer de grands et beaux moments littéraires,
alors
pour conclure en beauté une saison bien chargée : 
viens le mardi 14 mai à 18h rencontrer Julie
Wolkenstein
,
pour le
très réussi : Adèle et moi publié chez POL.

Bénédicte
a bondi sur le téléphone pour joindre les éditions POL dès le 2
janvier, quand elle a eu fini de lire Adèle et moi
(après nous avons bien sûr eu quelques problèmes d’agenda pour caler la rencontre, mais tout va bien, elle vient le 14 mai, on te l’a dit ?) :
un très
bon, très gros livre, qui en plus se passe à Saint-Pair sur mer,
quelle joie !
Julie
Wolkenstein y parle de secret de famille, de transmission : c’est
drôle & émouvant.
L’Adèle
du titre est son arrière-grand-mère, dont elle ne sait rien, ou
presque.
Adèle
est aussi celle qui a fait construire cette maison de bord de mer…
« Plus
qu’aux faits, la narratrice s’attache aux signaux, plus qu’à
la mémoire, elle s’intéresse aux faux souvenirs.

Aidée
par la tante Odette, 86 ans, qui lui donne le journal et une
partie de la correspondance d’Adèle, elle bâtit un roman sur la
vie de son arrière-grand-mère en résonance avec son propre vague à
l’âme ». Olivia de Lamberterie, Elle,
4 janvier 2013

« Adèle a bel et bien
existé, Adèle a bel et bien été inventée. Entre les deux, le
cœur de Julie Wolkenstein balance, et ce mouvement imprime à son
roman une belle cadence, sans que jamais le pied ne lui tourne…Rien
d’étonnant à ce que l’écriture alterne les vagues houleuses et les
grandes plages désertes, le piquant et le caressant, le froid et le
chaud. La mer est la véritable héroïne du livre. Parfois capable
d’une « immobilité inconcevable », changeante
et revêche, elle bruisse toujours d’une rage intérieure, comme
Adèle et Julie. À distance, hors du temps, les deux femmes se
remplissent l’une de l’autre, elles fusionnent tout en gardant leur
individualité. On n’est jamais que la somme de ceux qui nous ont
précédés, chuchote ce roman envoûtant, sur la liberté de regard. » Marine
Landrot, Télérama,
3 janvier 2013

Tu vois bien,
Ô
Lecteur, mon ami : ta libraire te l’affirme, la presse te le dit, alors n’hésites plus,
et viens passer un bon moment avec nous !
C’est
Frank Lanot qui animera la rencontre,
et c’est
chez Eureka Street, bien sûr, le mardi 14 mai !
Julie
Wolkenstein, née en 1968, enseigne la littérature comparée à
l’Université de Caen. Adèle et moi est son sixième roman.
Julie Wolkenstein photo de : (c) Helene BAMBERGER/Opale

Eureka fête le 8e Printemps Balkanique : deux belles soirées au programme !

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

Le message qui suit va te parler de conjugaison grecque, d’un croate de Bosnie qui vit à Douarnenez, du printemps dans les Balkans et de l’explosion du Parthénon.
Ce message est à caractère publicitaire et vise à te faire acheter des livres (de bons livres !).
Ce message, d’une manière totalement dénuée de scrupules, vise également à t’inciter à fréquenter la librairie Eureka Street à Caen et à y dépenser ton argent durement acquis à la sueur de ton propre front.
L’auteur de ce message te remercie de l’attention que tu vas néanmoins porter à la lecture de ces quelques lignes.
Ce message n’est pas un poisson d’avril…

Eureka Street, (sans accent sur Eureka, normal, c’est de l’anglais) c’est d’abord le titre d’un roman de Robert McLiam Wilson que Bénédicte & moi avons adoré et qui nous a donné le nom de ta librairie préférée…Ok.

Mais eurêka c’est aussi la forme que prend le verbe grec antique EURISKO (découvrir-trouver) quand il est conjugué au passé composé et à la première personne du singulier, donc : « J’ai découvert – J’ai trouvé ! ».
Et ce mot, eurêka (avec l’accent dans ce cas-là), c’est ce que dit un (bon) libraire quand il découvre un bon livre !
Or donc, « eurêka ! » Que ne l’ai-je dit et répété après avoir lu, il y a pile un an :
Sarajevo omnibus de Velibor Colic (Gallimard, 2012).

J’avais même chroniqué ce titre à l’occasion de notre soirée Romans de l’été en juillet 2012 : « Un de ces romans qui rendent plus humain, plus intelligent…Et drôle avec ça ! A lire absolument ! » Et vous êtes une quarantaine de lecteurs à m’avoir fait confiance en achetant ce beau roman dans lequel l’auteur raconte l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand à
Sarajevo le 28 juin 1914 à la façon d’un conteur oriental, mêlant
habilement faits historiques et pures inventions.

Nous sommes donc très heureux de t’inviter, Ô Lecteur mon ami, à venir rencontrer Velibor Colic, le vendredi 12 avril à partir de 18h.(et non 19h30 comme il a été indiqué par erreur sur le programme papier)
Cette rencontre et la suivante (voir ci-dessous), sont organisées en partenariat avec l’ami Laurent Porée et son association Balkans Transit dans le cadre du 8e Printemps Balkanique, qui se déroule jusqu’au 21 avril dans toute la région Basse-Normandie.
Nous sommes également ravis de t’inviter à rencontrer : Christos Chryssopoulos 
le mercredi 17 avril à partir de 18h  (et non 19h30 comme il a été indiqué par erreur sur le programme papier)
 

Les deux derniers livres de Christos Chryssopoulos sont :
-un roman qui n’en est pas vraiment un, un objet littéraire singulier
qui propose à la Grèce contemporaine de se « détruire » pour mieux renaître des cendres de la crise économique et morale qu’elle traverse.
La Destruction du Parthénon (Actes Sud, 2012)

-et un essai sur la capacité d’un écrivain à se consacrer à la fiction quand la réalité est si violemment présente dans son quotidien :
de la difficulté d’écrire en temps de crise !
Une lampe entre les dents (Actes Sud, 2013)

Il sera donc question de la Grèce et de ses bouleversements.
Venez nombreux, tout cela promet d’être passionnant !!!

Nicolas Rouillé squatte Eureka Street

Indigné ? Alter-mondialiste ?
Tu te poses des questions sur les modes de vie alternatifs, Ô Lecteur mon ami ?

Mercredi 3 avril à partir de 18h, nous t’invitons à visiter le squat imaginé par Nicolas Rouillé et publié par les éditions Moisson Rouge : Le Samovar.

Le
Samovar, c’est un ancien entrepôt de l’armée envahi de végétation
où vit toute une petite tribu selon des principes de vie autonome.

Tristan,
qui « fait des études qui le poussent tranquillement vers
pôle-emploi »
va intégrer la communauté.

Inutile
de vous dire que l’originalité du Samovar et de ce qui s’y passe
réveilleront le jeune homme et le transformeront
en militant qui sera de tous les combats pour la survie du
lieu.
Finesse des dialogues, vérité des situations : l’auteur connait bien son sujet !

« Récit brut de
décoffrage d’un an de la vie d’un squat et de ses occupants, vu
de l’intérieur avec lucidité et humour. Balayant les préjugés
sans tomber dans l’angélisme, ce roman nous invite à un voyage
entre les mailles du système ».

Nicolas
Rouillé est né à Caen en 1971. Au terme de ses études, il plaque
tout et trace sa route à travers l’Asie centrale, le Pakistan et
l’Inde, avant de se poser en Indonésie. Curieux des modes de vie
alternatifs, il explore les réseaux collectifs. Quand le squat qui
l’intéresse propose chorale ou boxe, il enfile les gants. Il vit
aujourd’hui à Toulouse, Le Samovar est son premier
roman.

 
Mercredi
3 avril Eureka Street hisse le drapeau noir :


lecture
par Nicolas Rouillé lui même.

Bientôt
-le 12 mai- l’évènement Eureka Street : Julie Wolkenstein !

Nous avons enfin pû trouver une date pour recevoir l’auteure de Adèle et moi, aux éditions POL !
Le 12 mai, il fera beau et chaud, c’est sûr !

Mardi 19 mars : Jacques Abeille / Attila / Jacques Roubaud

Mardi
19 mars, à 18h,
rencontre exceptionnelle avec Jacques Abeille et son éditeur : Attila.
Pour
mémoire, Ô Lecteur mon Ami,
voici
ce que tu pouvais lire dans notre catalogue d’été 2012 à propos du roman de Jacques Abeille
Les Jardins Statuaires : 
« Premier grand choc
de libraire à l’ouverture d’Eureka Street, la lecture de ce grand
livre m’a éblouie par sa langue si ample, riche, classique et
neuve…

Partez pour un
drôle de voyage, dans un drôle de pays où les statues poussent
dans la terre et où les hommes se font jardiniers pour les conduire.

Inoubliable,
entêtant, INDISPENSABLE on vous dit ! »
C’est
te dire notre joie quand l’Avant-Festival Passages de Témoins nous a proposé de nous associer à cette soirée à l’Imec consacrée aux éditions Attila.
Joie
et jalousie mêlées :
paralysés
par notre admiration pour Jacques Abeille et ses jeunes éditeurs au
catalogue impressionnant, nous n’arrivions pas à nous décider à les inviter, tout simplement…
Et
puis voilà, nos partenaires pour cette soirée ont bien voulu nous
laisser nous glisser dans cette rencontre, merci à eux !
Cliquez ici : éditions ATTILA

Attila,
c’est l’éditeur d’Hilsenrath,
de Roubaud,
de Kivirähk
(à découvrir !), de Sapienza,
de Gorey
et ses Enfants fichus…et de
bien d’autres…

Fondée
en 2009, Les éditions Attila sont nées d’une rencontre entre
Frédéric Martin et Benoît Virot.

Les deux fondateurs d’Attila
défendent, à raison de dix à douze livres par an des auteurs, des
dessinateurs et des traducteurs qui font une confiance surréaliste à
l’imaginaire.

Parmi
eux, Jacques Abeille,
auteur des Jardins Statuaires.

Attila
a réédité ce roman maudit, perdu, brûlé, abandonné au fil des
années.

Les
« Jardins » ont donné naissance à une saga proliférante, le
Cycle
des contrées
:
récit
de voyage, roman d’aventure, roman philosophique, récit onirique,
roman surréaliste, c’est tout cela à la fois, servi par une langue
magnifique.

Jacques
Abeille explique que, dans cette métaphore transparente des statues
vivantes, se trouve la métaphore essentielle de la création. Sa
croissance difficile, tous les soins à apporter, et puis enfin
l’émergence de l’œuvre.

Tu
vois,
Ô Lecteur mon Ami, ta librairie préférée te promet encore
un beau moment… à ne pas manquer !

Alors, le Mardi
20 mars
, réserve toute ta soirée !
  • 18h
    à Eureka Street
     :
    rencontre avec Jacques Abeille
    et lecture par le comédien Laurent Frattale. Oui, la rencontre à
    la librairie sera trop courte, c’est sûr !
  • 20h
    à l’Imec 
    : rencontre
    avec les éditions Attila,
    en présence de
    Frédéric Martin, Benoît Virot, Jacques
    Roubaud
    ,
    soirée animée par Pierre Vilar.
Et puis,à
venir, mais nous
aurons le temps d’en reparler : 

  • nous
    recevrons début avril
    Nicolas
    Rouillé

    pour son livre
    Le Samovar,
    publié chez
    Moisson
    Rouge.
     
  • Ensuite,
    c’est le début du festival
    Printemps
    Balkanique
    :
  • nous recevrons donc en avril le bosnique Velibor Colic et le grec Christos Chryssopoulos !
  • enfin, nous avons invité Julie Wolkenstein pour son très réussi Adèle et moi, publié chez P.O.L., nous espérons régler très vite un petit problème d’agenda.


Le Livre de Poche a 60ans : c’est demain !

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

1953-2013 : le Livre de Poche a 60 ans !

Alors, pour fêter dignement ce bel anniversaire, je t’invite a venir écouter Bernard Jahier demain jeudi 21 février, à partir de 18h !

Bernard Jahier, professeur, érudit & collectionneur, viendra nous raconter l’histoire de cette révolution dans le monde de l’édition.

Regarde un peu autour de toi, Ô Lecteur mon ami :
dans ta bibliothèque, sur ta table de nuit, ou en pile dans les toilettes (?),
y en a partout des « livres de poche » !

 Volumen -> Codex -> Gutemberg -> Livre de Poche -> numérique ?
Pour tout savoir et tout comprendre,
rendez-vous demain soir,
jeudi 21 février, 

chez Eureka Street ! 
Venez nombreux !

Rencontre autour de la revue XXI, avec Patrick de Saint-Exupéry

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Juste ce petit message pour te rappeler que :
le vendredi 15 février, à partir de 18h, nous aurons le plaisir de rencontrer Patrick de Saint-Exupéry, co-fondateur, avec Laurent Beccaria, de la revue XXI.

La revue XXI n°21 vient de sortir en librairie et, plutôt que de fêter le cinquième anniversaire du premier MOOK de l’histoire de la presse écrite (objet éditorial hybride résultant du mariage entre un : Magazine & un : Book), en offrant des « pin’s » à ses lecteurs, Patrick de Saint-Exupéry et son équipe ont eu l’heureuse idée de partir en tournée afin de rencontrer et d’échanger avec leurs lecteurs !
Eureka Street à Caen et Le Détour à Granville sont les librairies-étapes Normandes dans le grand voyage de XXI sur la route !

(Grâces en soient rendues à Fany & à Raphaël du Détour : sacré coup de pouce les amis !)
Venez nombreux pour débattre autour du Manifeste XXI, passionnant encart livré avec le XXI n°21, qui s’engage pour qu’un autre journalisme [soit] possible !
Nous ne manquerons pas de causer avec notre invité de « révolution
numérique » : en librairie aussi ces questions là se posent…et nous
posent… quelques soucis ?!
Rendez-vous le vendredi 15 février à partir de 18h & prévoyez vos sièges pliants !

Les Rendez-vous d’Eureka Street : février 2013

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

En cette douzième année du XXIe siècle, en ce grisâtre mois de février, en ce lundi chagrin, et à cette heure… tardive, je te le dis haut & fort : c’est le Printemps !
Et tu peux bien me traiter de fou, Ô Lecteur, mon ami, et tu peux bien m’opposer tes calendriers des PTT ou tes agendas high-tech : je le sais, je le sens, je le vois et je l’entends : c’est le Printemps !
Les petits oiseaux, les jonquilles, et même la neige, si elle devait tomber :
tout m’en convainc, tout m’en assure !
Tiens ! Il n’y a qu’à voir le programme printanier que te propose ta librairie préférée :
Ah !!! Ça bourgeonne !
Et une invitation par semaine ! Par semaine ! Quatre dans le mois ! Dans le mois ! Ahah ! Kenditu ?


D’abord, faisons place aux éditions La Sauce Aux Arts (LSAA), le vendredi 8 février à partir de 18h.
anXiogène (est photographe et plasticienne depuis une dizaine d’années. Elle vit et travaille à Caen, en Normandie.)
et Blaise Nada (Blaise Nada écrit.)
viendront nous présenter leur premier livre : Les Femmes-objets.
Des photos & des textes. Une lecture & le récit d’un projet éditorial. Un coup à boire, bien sûr…
Mais aussi des femmes (quasi) nues ! de l’érotisme (?) ! et une touche de retro-science-fiction (uchronie ?) ! Nous demanderons donc aux auteurs si ce livre est un manifeste féministe. Ou pas… Venez nombreux !

Patrick de Saint-Exupéry
XXI n°21 (janvier 2013)
Ensuite, le vendredi 15 février,
à partir de 18h,
nous aurons le plaisir de rencontrer
Patrick de Saint-Exupéry, co-fondateur,
avec Laurent Beccaria,
de la revue XXI.

La revue XXI n°21 vient de sortir en librairie et, plutôt que de fêter le cinquième anniversaire du premier MOOK de l’histoire de la presse écrite (objet éditorial hybride résultant du mariage entre un : Magazine & un : Book), en offrant des « pin’s » à ses lecteurs, Patrick de Saint-Exupéry et son équipe ont eu l’heureuse idée de partir en tournée afin de rencontrer et d’échanger avec leurs lecteurs !
Eureka Street à Caen et Le Détour à Granville sont les librairies-étapes Normandes dans le grand voyage de XXI sur la route !

(Grâces en soient rendues à Fany & à Raphaël du Détour : sacré coup de pouce les amis !)
Venez nombreux pour débattre autour du Manifeste XXI, passionnant encart livré avec le XXI n°21, qui s’engage pour qu’un autre journalisme [soit] possible !
Nous ne manquerons pas de causer avec notre invité de « révolution numérique » : en librairie aussi ces questions là se posent…et nous posent… quelques soucis ?!
Rendez-vous le vendredi 15 février à partir de 18h & prévoyez vos sièges pliants !

Enfin, il te faudra être patient, Ô Lecteur mon ami, car j’aurais besoin d’un peu de temps pour te raconter ce qui va se passer ensuite, mais, afin de te mettre en appétit et pour que tu notes tout ça dans ton calendrier des PTT, sache que :

  • Le
    mardi 19
    février

    dans le cadre du festival Passage de Témoins, nous te proposons une rencontre
    au cinéma Lux avec Miss Tic (la poétesse-pochoiriste qu’on ne présente plus !),
    Patrick le Fur
    (Opus-Délits chez Critères éditions) & Sane 2
    trois « spécialistes » du Street Art. Ça tague chez Eureka Street !
  •  enfin, le jeudi 21 février, Bernard
    Jahier
    nous racontera l’histoire des premiers livres de poche,
    à l’occasion du soixantième anniversaire de cette prestigieuse collection !!!

 Alors, c’est pas chouette le printemps chez Eureka ?

Chez Eureka Street, 2013 commence le 25 !

Salut
à toi ô Lecteur mon ami !
Nous
te souhaitons une treize heureuse année pleine de rencontres et de
bonnes lectures,
treize eurekastreetiennes !
Nous
commencerons l’année avec Yoann Thommerel, qui nous lira Trafic,
son premier livre paru aux éditions des Petits Matins
« Yoann
Thommerel
né en
1979.  Au lieu de se coucher tôt pour être le lendemain très
performant dans son travail, il sort, lit des livres et s’intéresse
aux revues qui demeurent à ses yeux le foyer possible de réflexions
et d’expérimentations partagées.
Un
temps membre du comité de rédaction de Fusées, il fonde en 2009 la
revue Grumeaux (éd. NOUS), puis en 2011 une maison d’édition
transgenre: grmx éditions (grumeaux.net). Depuis quelques mois, se
couche de plus en plus tard, pour écrire des récits, orientation
bi: théâtre/ roman. Trafic
est le premier volet d’une trilogie en cours d’écriture ».

Le
25 janvier 2013, à 18h, une soirée toute particulière, une
performance :
Yoann
le dit « Il peut se créer au cours d’une
lecture un rapport très immédiat entre le poète et l’auditeur,
surtout si la lecture est appréhendée comme champ d’expérimentation
et de création en soi, si elle porte une langue travaillée qui
appelle l’oralité »
Le pitch de trafic ? Midch et
Fanch ont la trentaine et sont amis de longue date. Ils passent leur
temps à l’arrière du camion de Fanch qui, un jour, sera aménagé
en mobile-home, and will hit the road

Rendez-vous
le 25 janvier 2013 pour une soirée post-punk avec Yoann Thommerel !

Poursuivons notre route :
Le 15 février, nous recevrons
Patrick de Saint-Exupéry, rédacteur en chef de l’ excellente
revue XXI pour la parution du numéro 21 de la revue.
Son manifeste « Un autre
journalisme est possible » commence à faire débat (cf
Libération du 15-01)

Vous aussi, préparez vos questions !

Le
19
février

dans le cadre du festival Passage de Témoins, rencontre
au Lux avec Miss Tic,
Patrick le Fur
et Sane 2
trois spécialistes du Street Art.
Le 21 février, Bernard
Jahier
nous racontera l’histoire des premiers livres de poche,
à l’occasion du soixantième anniversaire de la collection.
Le
premier livre à être publié en format poche en France est
Koenigsmark
de Pierre Benoit. Dans
Les Temps modernes,
Jean-Paul Sartre s’interroge : « Les livres de poche
sont-ils de vrais livres ? Leurs
lecteurs sont-ils de vrais lecteurs ?  (!)
Le
19
mars
dans
le cadre du festival Passage de Témoins, une soirée exceptionnelle
à l’IMEC avec les éditions
Attila
.
Seront présents Jacques
Abeille
,
Jacques
Roubaud

et Jacques
Pauvert
.

Nous
discutons avec l’éditeur pour recevoir à Eureka Street Jacques
Abeille, auteur des Jardins
statuaires
,
dont Bénédicte vous rebat les oreilles depuis l’ouverture de la
librairie !

Bon,
tout cela, c’est juste pour vous allécher, viendront ensuite
le
festival Balkans Transit, avec notamment Velibor Colic, Christos
Chryssopoulos
Nicolas
Rouillé, pour son roman Le
samovar

aux éditions Moisson Rouge,
Jeanne
Benameur….Mais où s’arrêteront-ils ??
Nous
continuerons, ô Lecteur, mon ami, parce que les livres, nous les
aimons comme ça :
nombreux,
riches, beaux !