Marc koenig |
Jean-Bernard Pouy |
Venez nombreux !
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Jean-Bernard Pouy |
Venez nombreux !
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Au commencement était le Verbe.
Il y eut un jour, il y eut un matin, puis longtemps après, il y eut Hervé Gissot.
Et puis, le septième jour, alors que le week-end touchait à sa fin, un de ces dimanches pluvieux où la perspective de bosser le lendemain vous met une grosse boule au fond de la gorge, le septième jour donc, Hervé Gissot créa Spleen l’Ancien.
D’ailleurs, c’est écrit en toutes lettres dans son livre, le String Minimum (LSAA éditions) :
Spleen l’Ancien, c’est à lire entre les lignes, a eu une autre vie avant. Une autre vie artistique s’entend. Alors bien sûr il en garde quelques regrets, une certaine nostalgie. Et puis il y a le temps qui passe, toujours trop vite. Et peut-être aussi que la mélancolie était là de tout temps, qu’elle était déjà là avant.
D’où le spleen…
Mais avant, maintenant et encore après, il y a et il y aura aussi l’humour ! Et le goût pour la bagarre !
On ne se refait pas : quand on a une grande gueule, on l’ouvre !
Et puis la gouaille, et puis l’argot, et puis le goût pour les bons mots !
Spleen l’Ancien c’est d’abord une voix, une voix qui s’écoute dans des salles de spectacles.
Une voix qui scande, une voix qui slamme, qui donne le frisson.
Avec son String Minimum, joli livre noir illustré par les photos de l’excellent Tonio Cazin, Spleen l’Ancien nous fait cadeau de ses textes, de sa poésie, de son slam (il y a même un CD de 7 titres à la fin !).
Alors, le samedi 28 mai, venez le rencontrer, à partir de 15h, dans votre librairie préférée, et goûtez avec nous un chouette moment de poésie, d’humour et de rage qui libère !
Le String Minimum, de Spleen l’Ancien, éditions La Sauce Aux Arts (LSAA) 15€.
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais envie de te parler, de t’expliquer un peu où nous en sommes.
Car vois-tu, créer une nouvelle librairie, ce n’est pas exactement ce que j’appellerai un travail de tout repos…
Rappelle toi : Eureka Street a ouvert ses portes en août 2010, soit il y a seulement 10 mois.
Et en seulement 10 mois, nous avons invité Julie Douard, la Brigade d’Intervention Poétique, Kjell Eriksson, Claudie Gallay, Patrick Pécherot !
Avec L’IMEC, nous avons rencontré Régis Jauffret, Serge Doubrovsky et Laure Adler !
Nous avons également participé à des actions pédagogiques avec le lycée Victor Hugo, le lycée Fresnel, et le collège Henri Sellier (de Collombelles) !
Tiens, au fait, savais-tu que vous êtes déjà 120 (!) à avoir acheté Eureka Street, le roman éponyme de Robert McLiam Wilson, savoureux récit qui nous a inspiré pour baptiser la plus belle librairie de la place de la République, et que vous êtes 120 à l’avoir aimé ?
Alors c’est vrai qu’on ne s’est pas vu au salon du livre, qu’on ne s’est quasi pas vu, samedi, place Bouchard (à l’occasion de Contes & Légendes Urbaines), et que nous nous sommes juste « aperçu » aux cent ans de Maurice Nadeau à l’IMEC.
Il est également vrai que nous aurons prochainement quelques occasions de nous revoir :
Aussi, je suis bien persuadé que face à tant de choix, devant tellement d’opportunités de nous rencontrer, il est quasiment impossible de ne pas nous revoir un jour ou l’autre.
Mais tu sais, Ô Lecteur mon ami, que si tu veux vraiment que ta nouvelle librairie préférée continue de te proposer cette alternative, cette différence, que dis-je ? cette aventure ! Je disais donc que, si tu veux que tout ça continue, ce qui serait bien, tu vois, ce serait de nous faire plein de pub, de venir acheter plein de livres chez nous, de conseiller à ton maire d’inviter le Camion-livre pour animer ses manifestations culturelles, de suggérer à ton bibliothécaire de passer commande chez Eureka Street !
En bref : on a besoin de ton soutien…On en recause à l’occasion ?
Allez, à bientôt !
Ce rendez-vous pour lire n’aurait pas pu avoir lieu sans l’aide du Centre Régional des Lettres de Basse-Normandie : qu’ils en soient ici vivement remerciés !
Donc, Ô Lecteur mon Ami, nous t’attendons le jeudi 19 mai à partir de 18h.
Qu’on se le dise !
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Alors, tu as mordu ?
A quoi ?
Ben, à mon Poisson d’Avril !!
Et non, ni Umberto, ni Harlan, ni Jean n’étaient présents : sauf dans nos coeurs, bien sûr !
(Enfin, surtout Umberto et Jean, parce que le père Harlan, il se répète un chouïa, non ?)
J’espère que tu ne m’en veux pas trop, Ô Lecteur mon ami, mais tu sais bien que le monde dans lequel nous vivons est bien dur, alors, quand ton libraire préféré te donne une occasion de te marrer un peu : il faut la saisir !!
Allez, quittons-nous bons amis ! Il sera toujours temps de redevenir sérieux quand on s’ra mort…
Vive la vie, vive la rigolade, et, c’est pas pour me vanter mais, vive Eureka Street !!!
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !!
Annonce de dernière minute et pourtant d’importance capitale !!!
Demain, vendredi, nous recevons trois auteurs en dédicace :
Dis-le à tes amis !!!
Un programme d’un tel prestige; des dédicaces d’un tel niveau; où ça ???
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Comme je te l’annonçais dans mon précédent message, samedi prochain, le 26 mars, ta librairie crée une fois de plus l’évènement.
En effet, à l’occasion de la rencontre-dédicace avec Patrick Pécherot, Eureka Street invite la BIP (la Brigade d’Intervention Poétique) à venir nous interpréter, en paroles et en musique, quelques extraits du roman de Patrick Pécherot : L’homme à la carabine.
Malika Labrume (comédienne), Rénald Fleury (violoncelle) et Monique Lemoine (accordéon) vont nous charmer les oreilles (et peut être nous faire rire ? ou pleurer…?) avec les mots que l’auteur prête à André Soudy, ce rêveur malchanceux.
Ce rendez-vous pour lire Patrick Pécherot n’aurait pas pu avoir lieu sans l’aide du Centre Régional des Lettres de Basse-Normandie : qu’ils en soient ici vivement remerciés !
Alors, Ô Lecteur mon ami, tu ne savais pas quoi faire de ton samedi après-midi ?
Tu hésitais entre les activités de plein air et les courses dans les grandes surfaces ?
Mais tu es effrayé par la radioactivité et puis, qui plus est, la foule anonyme te déprime :
Chez Eureka Street ça sent bon les livres, les mots sont plein d’humanité et la musique adoucit les mœurs !
Alors rendez-vous le samedi 26 mars entre 15h & 18h au 19 place de la République !
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Oui, je sais ce que tu vas me dire… ça faisait longtemps.
C’est vrai, mais j’ai des excuses !
Dans la nature, tu l’auras remarqué, le printemps s’amène, disons… tout naturellement !
Les jonquilles, les perce-neiges, les chatons : bon.
Mais le printemps d’Eureka Street, tu crois qu’il pousse tout seul ?
Voilà, ça y est : tu me suis…
Or donc, c’est le printemps et ça bourgeonne de partout :
Tout ça pour dire, Ô Lecteur mon ami, que c’est le printemps d’Eureka Street !
Alors, viens avec nous cueillir les primevères littéraires et les jonquilles romanesques !
A bientôt !
Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Ça faisait longtemps, non ?
D’ailleurs, Bénédicte m’en faisait la remarque pas plus tard que tout à l’heure :
[ce qui a contribué à m’inquiéter parce-que lorsqu’elle m’aime bien, elle me dit plutôt : « Pierrot ! »]
A ce moment de mon récit, je me dois de te donner quelques menues explications, Ô Lecteur mon ami : en effet, tu dois savoir que Bénédicte & moi avons ouvert ta nouvelle librairie Eureka Street au mois d’août de l’année dernière. Et que l’un sans l’autre on ne serait pas grand chose…et, surtout moi…
Aussi, lorsque Bénédicte me fait ce genre de remarque, je l’écoute !
Un peu comme dans l’expression : « Quand les types de 100 kilos parlent, ceux de 50 écoutent. »
Sauf que là, c’est l’inverse, mais ceci est une autre histoire…
Or donc, tes libraires préférés se démènent comme des beaux diables pour résoudre la quadrature du cercle, et tout en même temps gérer le quotidien de leur petite entreprise, inventer le fil à couper le beurre, mais aussi publier sur ce blog, animer le facebook, écrire des petits mots sur les ardoises, acheminer le camion-librairie-itinérante sur ses lieux de pâture, rédiger des demandes de subventions (on a le droit de rêver, non ?), lire, lire, lire et tutti quanti : en bref, on a du boulot !
Mais surtout, surtout, il nous faut tenir la promesse de faire d’Eureka Street un lieu vivant de rencontres avec des éditeurs, des musiciens et des acteurs, et des écrivains !
Alors il faut que tu saches, Ô Lecteur mon ami, que ce n’est pas pour nous remettre de je ne sais quelles agapes et autres fatales orgies de fin d’année que j’ai tant tardé avant de t’écrire ce petit mot : c’était pour être certain de pouvoir t’annoncer de bonnes nouvelles :
–En février (?), les éditions Grasset nous font l’honneur d’inviter Véronique Olmi à lire quelques extraits de son dernier livre dans notre belle librairie ! Cet été là : comme chaque année, trois couples d’amis passent le 14 Juillet au bord de la mer, à Agon-Coutainville.
C’est un rite immuable et léger. Une parenthèse joyeuse. Cet été-là, pourtant…
A partir de cette trame Véronique Olmi bâtit un roman qui parlera au cœur de tous ceux qui traversent « le milieu du chemin de la vie« . On pense aux meilleurs films de Claude Sautet, avec le bruit du temps qui passe et des amours qui se défont. ( Grasset )
La date de cette rencontre reste à fixer…
– En Mars (?), nous allons fêter dignement les 20 ans des éditions Zulma (éditeur honfleurais de Rosa Candida, de Là où les tigres sont chez eux et bien d’autres…).
Nous présenterons le fonds des éditions Zulma à la librairie : Eureka se parera pour l’occasion des couleurs des jolies couvertures de Zulma, puis nous recevrons Laure Leroy, directrice littéraire, accompagnée d’un auteur maison (mais chutt ! Nous en reparlerons). ( Zulma )
La date de cette rencontre reste à fixer…
– En Avril (?), nous souhaitons inviter Patrick Pécherot, auteur de romans noirs aux éditions Gallimard, pour la sortie de son dernier livre : L’Homme à la carabine (le 10 février).
« L’Homme à la carabine donc, c’est le dernier venu dans la bande à Bonnot : André Soudy, il n’a pas vingt ans. Pendant le hold-up de Chantilly, il tient la foule en respect, d’où son surnom ! » « Ses histoires d’amour finissent mal et il est « tubard » jusqu’à la moëlle… L’esprit très titi parigot, mais la poisse incarnée ! Il se met dans la bande à Bonnot dans la dernière ligne droite, quand ils ont déjà toute la police aux fesses. » (cf : http://pecherot.com/ ) : Paris populaire, mémoire sociale, dialogues ciselés, atmosphères atmosphères ! Nous avons hâte de vous donner à découvrir les romans de Patrick Pécherot.
La date de cette rencontre reste, vas-y, devine ?… à fixer…