Jeudi 23 mars : Rémi David, une rencontre magique !

La magie fait apparaitre des erreurs et disparaitre des vérités ; elle fait croire vrai ce qui est faux et faux ce qui est vrai ; elle montre ce qu’il faut cacher et cache ce qu’il faut montrer ; elle fait du vrai avec du faux  et du faux avec du vrai ; elle met dans la lumière ce qui est dans l’obscurité et dans l’obscurité ce qui est dans la lumière. En un mot : elle ment, mais c’est sa façon à elle de dire la vérité. Ou bien alors, et c’est la même chose : elle dit la vérité, mais c’est sa façon de mentir…(Préface de Michel Onfray) 
Abracadabra : Eureka Street se met à la philosophie !
Bon, pour y aller en douceur, on a choisi un magicien, Rémi David, qui est aussi écrivain.
Il a reçu en 2000 le Prix du Jeune Écrivain.
Lava (Le Tripode, 2015) a été porté sur scène par le comédien
Denis Lavant.

Rémi David, formé à la magie nouvelle au Centre national des arts du cirque, a fondé en 2012 l’association M’Agis qui propose, en France et dans le monde des spectacles et des ateliers de magie à des populations en grande difficulté.
Il vient de publier Philosophie de la magie (Éditions Autrement).

Ses performances de magicien s’accompagnent de son regard doux, de sa voix douce, de ses gestes doux. Sans en avoir l’air, il fait rentrer un monde dans un dé à coudre et il en fait sortir un autre d’un mouchoir.
Il sourit, puis s’en va, nous laissant en face de ce réel…
A sa manière, sa pensée et sa pratique s’inscrivent dans le sillage du philosophe Clément Rosset qui a passé sa vie à s’interroger sur les mystères et la nature du réel. (Michel Onfray) 
 
Venez rencontrer Rémi David jeudi 23 mars à 18h30, pour un voyage au pays de l’illusion.

Les Editions La Renverse

 Tu as repéré ces petits livres dorés et noirs des éditions La Renverse qui sortent du rayon pour te faire lire de la poésie ?

Avec leur coupe en biseau au pied, leurs ouvrages se démarquent de l’édition
poétique traditionnelle et viennent physiquement à la rencontre du
lecteur, à la renverse…et maintenant, La Renverse édite des romans, argentés et noirs, à l’écriture novatrice, à la fois accessible et exigeante :

Nous fêterons la sortie de American requiem, de Jean-Christophe Buchot, un roman illustré par Hélène Balcer et Yann Voracek.
« Aujourd’hui
ça commence. Aujourd’hui je suis mort » : c’est la voix de John
Fitzgerald Kennedy. Et si les faits, seuls, ne suffisaient pas à faire
émerger la vérité, s’il fallait les soumettre à l’épreuve de la
littérature pour qu’éclate enfin toute la lumière ?

Rendez-vous avec Jean-Christophe Buchot et son éditeur jeudi 16 février à 18h30
http://editions-la-renverse.com/

mercredi 8 février rencontre-lecture avec Yoann Thommerel

Yoann Thommerel, directeur du développement culturel à l’Imec, un temps membre du comité de rédaction de la revue Fusées, fonde en 2009 la revue Grumeaux, consacrée à la poésie et aux littératures expérimentales.

Il publie son premier livre en 2013 : Trafic (Editions Les Petits matins).
Ce texte a été mis en scène par  Daniel
Jeanneteau et Marie- Christine Soma, au Théâtre de la Colline en 2014. Puis, il publie d’autres textes en revue (Volaille, Le Bout des bordes…). Il fait de nombreuses lectures publiques, notamment en duo avec l’auteur Sonia Chiambretto.

 Yoann Thommerel expliquait très justement pour Trafic
 » Mon texte dérape sans cesse et invente une forme qui épouse
l’instabilité des personnages, une instabilité à mon sens pleine de
vitalité ”

Dans Mon corps n’obéit plus(Editions Nous) Yoann Thommerel invente de nouvelles formes et jeux typographiques.

 

« Dans pas longtemps mon corps sera une clameur, mon corps sera un million »

Nous fêterons la sortie de ce nouveau livre avec Benoît Casas, des Editions Nous, et Yoann Thommerel, bien sûr le mercredi 8 février à 18h30

La sonate à Bridgetower : Rencontre avec Emmanuel Dongala jeudi 26 janvier

Lançons cette année 2017 sous le signe des Lumières, de la Révolution et de la fraternité avec notre invité Emmanuel Dongala !

 J’ai sûrement tenté (et souvent réussi !) de vous faire lire ce beau livre, vous vous souvenez de sa couverture :

Ces femmes sont africaines, elles cassent des blocs de pierre pour en faire des cailloux, et n’ont pas voix au chapitre. Elles vont ensemble découvrir le sens du groupe, la solidarité, l’espoir.
Avec ironie et humanisme, Emmanuel Dongala écrivait sur la
condition terrible et violente faite aux femmes en Afrique. Par sa description décapante des rapports de pouvoir dans une Afrique
contemporaine dénuée de tout exotisme, Photo de groupe au bord du fleuve
s’inscrit dans la plus belle tradition du roman social,
l’humour en plus.

Citons également Le feu des origines, Serpent à Plumes, le roman-histoire d’un continent, l’Afrique,

Johnny chien méchant, adapté au cinéma sous le titre Mag Dog, l’histoire terrible des enfants soldats.
Jazz et vin de palme, recueil de nouvelles et Les petits garçons naissent aussi des étoiles, Serpent à plumes, un roman grinçant et plein d’humour, sur une réalité africaine encore largement actuelle, sorte de Candide au Congo.

Né en 1941, Emmanuel Dongala est congolais. 
Il enseignait la chimie à
l’Université de Brazzaville, avant de devoir quitter le Congo lorsqu’en
1997 le pays plonge dans la guerre civile et bascule dans le chaos. 
Grâce au soutien actif de Philip Roth, il trouve refuge aux
Etats-Unis, où il enseigne à la fois la littérature francophone et
la chimie. 


Il a reçu notamment le Grand Prix Littéraire
de l’Afrique Noire (1988) le prix Virilo (2010)
et le prix Ahmadou-Kourouma (2011) pour son roman Photo de
groupe au bord du fleuve
paru chez Actes Sud.
Il viendra parler de son oeuvre et présenter son dernier livre La sonate à Bridgetower, Actes Sud.

N’en déplaise à l’ingrate postérité, la célèbre Sonate à Kreutzer n’a
pas été composée pour le violoniste Rodolphe Kreutzer, qui d’ailleurs ne
l’a jamais interprétée, mais pour un jeune musicien métis, George Bridgetower
Comment celui-ci est devenu l’ami auquel Beethoven a dédié l’un de ses
morceaux les plus virtuoses, voilà l’histoire qui est ici racontée.

Au début de l’année 1789 débarquent à Paris le violoniste prodige George
Bridgetower, neuf ans, et son père, un Noir de la Barbade qui se fait
passer pour un prince d’Abyssinie. Arrivant d’Autriche, où George a
suivi l’enseignement de Haydn, ils sont venus chercher l’or et la gloire
que devrait leur assurer le talent du garçon…
De Paris à Londres, puis Vienne, ce récit d’apprentissage aussi vivant
qu’érudit confronte aux bouleversements politiques et sociaux –
notamment la mise en cause de l’esclavage aux colonies et l’évolution de
la condition des Noirs en Europe – les transformations majeures que
vit le monde des idées, de la musique et des sciences, pour éclairer les
paradoxes et les accomplissements du Siècle des lumières. 

 Jeudi 26 janvier à 18h30, rencontre avec Emmanuel Dongala pour La sonate à Bridgetower, Actes Sud

Le Loup, le Renard et la Belette : rencontre avec DOA mercredi 7 décembre à partir de 18h30

T’en
souviens-tu, Ô Lecteur mon ami de cette lancinante ritournelle :
«j’ai
vu le loup, le renard et la belette, j’ai vu le loup et le renard
danser» ?
Cette
chanson «trad» me tourne dans la tête depuis que j’ai lu un
superbe roman noir :
Puktu
secundo
de DOA chez Série Noire (Gallimard).
Attends
un peu que je m’explique…
Et
commençons par le début.
J’ai
découvert DOA, un mystérieux écrivain français cachant son
identité sous les trois lettres angoissantes de Dead On Arrival
(= mort à l’arrivée), en 2007 en dévorant Citoyens Clandestins que
je n’arrête pas de te conseiller depuis.
Je
me suis évidemment précipité sur Le Serpent Aux Mille Coupures
paru chez le même éditeur en 2009.
Et, manière
de tout savoir, j’ai ensuite «rattrapé» Ligne de Sang, un roman plus
ancien, pour être sûr de bien tout connaître de l’univers de cet
intrigant romancier.
Et
puis j’ai attendu.
Et
puis toi, Ô Lecteur mon ami, tu as attendu avec moi.
Longtemps…
Aussi,
quand vint janvier 2015 et l’anniversaire des 70 ans de la Série
Noire et qu’on nous annonça, à nous chanceux libraires invités
pour l’occasion à Gallimard-Sur-Seine, la parution printanière de
Pukhtu primo, mon sang ne fit qu’un tour !
Mais ce qu’on a eu raison de lui accorder du temps à ce
DOA parce qu’on le sait bien que Rome ne s’est pas faite en un
jour !
Or donc, Pukhtu : c’est Rome, c’est énorme, c’est
grandiose !
Pukhtu primo en 2015 puis Pukhtu secundo cette année, c’est plus de mille trois cent page de rage, de bruit et de fureur !
C’est fort, c’est violent, mais surtout, c’est intelligent : c’est le genre de roman qui donne à son lecteur l’impression de mieux comprendre le monde qui l’entoure.
Ce
roman c’est (presque) une fable : on y voit un Loup (un
Loup-Servier donc un Lynx), un Renard, une Belette, mais aussi un
vieux Lion triste, une Souris toxico, et une sacrée bande de hyènes
et de chacals !
«j’ai
vu le loup, le renard et la belette, j’ai vu le loup et le renard
danser
» : tu vois ce que je voulais dire au début de cette chronique, Ô Lecteur mon ami ?
Mais
DOA est-il vraiment un fabuliste ?
DOA
est-il l’Ésope ou le La Fontaine de notre époque ?
Non,
parce qu’il n’y a pas de morale à la fin de ses histoires.
DOA ne
nous impose pas sa morale : il raconte, il dépeint, il décrit
et nous laisse libre de notre opinion.
Dans
notre monde tel qu’il le décrit, c’est d’ailleurs la seule liberté qu’il nous
reste : notre opinion.
Si
tant est que les éléments qu’on nous donne pour la forger, cette
opinion, ne soient pas manipulés, faussés, tordus… Mais
ne sombrons pas dans la paranoïa, hein ?!
Le rythme, l’intrigue, les paysages, les personnages : un souffle épique parcoure ces pages et nous laisse pantois, admiratif, effrayé mais heureux !
Heureux ? Ben oui, comme un amoureux des livres qui a encore fait une belle découverte.
Pour citer un maitre, Jean-Marc Laherrère dans son excellent blog, Actu du Noir :

« Et quand on envisage l’œuvre dans son ensemble, de Citoyens clandestins à Pukhtu secundo, on ne peut qu’être frappé par l’ambition de l’auteur, et admiratif devant la force et la cohérence du résultat.

Donc vous avez compris, à lire absolument !« 

Ô Lecteur mon ami, j’ai l’honneur & l’avantage de t’inviter à
venir rencontrer DOA
mercredi 7
décembre
à partir de 18h30 
dans ta librairie préférée !

Deux écrivains invités en novembre, suivez le(s) guide(s) !

Salut à toi, Ô Lecteur, mon ami ! 
Mardi 8 novembre, viens profiter d’un guide pas banal pour une balade dans les rayons d’ Eureka Street : l’écrivain et éditeur Mathieu Larnaudie improvisera un petit parcours de lecture
électif à partir des livres que nous avons en rayon, en choisissant des livres qui
lui sont chers directement sur les tables ou dans les étagères.
Comment circule-t-on en littérature,
comment se crée-t-on des affinités, des répulsions, des
compagnonnages, des adversaires mentaux, etc. ? 

 Mathieu Larnaudie, un écrivain à la langue d’une rare densité et d’une belle exigence, est accueilli en résidence à l’abbaye
d’Ardenne de septembre à novembre 2016, en partenariat avec le
Centre national du Livre et « Époque, le salon des livres qui
éclairent notre temps » de la Ville de Caen.
Né en 1977, Mathieu Larnaudie vit et travaille à Paris. Depuis
2004, il codirige la revue et les éditions Inculte. Il est l’auteur
de Strangulation (Gallimard, 2008), de La Constituante
piratesque
(Burozoïque, 2009), Les Effondrés (Actes
Sud, 2010), Acharnement (Actes Sud, 2012) et Notre Désir
est sans remède
(Actes Sud, 2015).
Que ce soit à la manière de l’historien, pour Les
Effondrés
et Acharnement, ou du biographe, dans le cas
de Notre Désir est sans remède, c’est toujours à partir
d’un matériau documentaire que Mathieu Larnaudie élabore ses
récits. Le projet romanesque qu’il engagera à l’abbaye
d’Ardenne impliquera à nouveau un mouvement d’enquête, et les
questionnements politiques au cœur de ce projet d’écriture
trouveront des échos évidents dans les fonds d’archives conservés
à l’IMEC.
De nombreux rendez-vous sont organisés autour de Mathieu
Larnaudie, à l’abbaye d’Ardenne et hors les murs. Le 29 novembre, l’IMEC consacre un
« Grand soir »
à Mathieu Larnaudie.

La rencontre à Eureka Street a été préparée avec les étudiants
de l’option « Atelier d’écriture ».

Jeudi 17 novembre : rencontre avec Luc Lang pour Au commencement du septième jour, Stock

4 h du matin, dans une
belle maison à l’orée du bois de Vincennes, le téléphone
sonne.
Thomas, 37 ans,
informaticien, père de deux jeunes enfants, apprend par un
appel de la gendarmerie que sa femme vient d’avoir un très
grave accident, sur une route où elle n’aurait pas dû se
trouver.
Commence une enquête
sans répit alors que Camille lutte entre la vie et la mort.
Puis une quête durant
laquelle chacun des rôles qu’il incarne : époux, père, fils et
frère devient un combat.
Jour après jour, il
découvre des secrets de famille qui sont autant d’abîmes
sous ses pas.

« Le professeur d’esthétique qu’est Luc
Lang organise ses mots en une composition sensorielle, où le rythme,
le flux à peine ponctué des phrases comptent autant que leur sens.
Ici on entend, on voit, on vit les personnages comme en temps réel,
tout autant qu’on les lit. »
Télérama
« Un roman ample et racé. Parmi ce qui se fait de mieux en cette rentrée. » L’Express
Ta libraire le confirme : Au commencement du septième jour est un des grands livres de cette rentrée, dans sa conception, son rythme. Un livre riche, fort, prenant.

C’est la deuxième fois que Luc Lang nous fait l’amitié et l’honneur de
venir à la librairie, la première fois, c’était en 2012, à l’occasion de
la parution de Mother, et foi de libraire, c’était une de ces soirées qui nous rendent heureux et fiers d’accueillir des écrivains comme nous le faisons depuis notre ouverture…en 2010 !

Luc Lang est écrivain et théoricien de l’art.
Auteur de romans (Voyage sur la ligne d’horizon (Gallimard), Furies (Gallimard), Mille six cent ventres (Fayard), Les Indiens (Stock), La fin des paysages (Stock), 11 septembre mon amour
(Stock) etc…) et d’ouvrages théoriques sur l’art et la littérature,
il enseigne l’esthétique à l’École Nationale supérieure d’Arts de Paris.
Rendez-vous donc le jeudi 17 novembre pour une belle rencontre, qu’on se le dise !
Encore ? Encore ? Tu en demandes toujours plus à tes libraires, Lecteur mon ami, et tu as raison :
tu sais qui on va te faire rencontrer en décembre ? Doa ! Oui, oui, Doa, l’auteur de Citoyens clandestins, de Pukhtu, publié par la Série Noire….
Allez, on récapitule :
mardi 8 novembre, balade littéraire avec Mathieu Larnaudie
jeudi 17 novembre, rencontre avec Luc Lang
mercredi 7 décembre, rencontre avec Doa

Mardi 11 octobre avec Céline Minard, on prend de la hauteur !

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !
Tu nous connais, la littérature, nous, on aime ça vivant, inventif, vibrant…
Alors, oui, on aime te conconcter des soirées, t’inviter à des rencontres, te servir un verre, tenter une autre façon d’être libraire.
Ensemble, toi et nous, nous allons accueillir une invitée de choix, une qui a du panache :

Céline Minard !

Le grand jeu est son huitième roman, et l’écrivaine nous surprend, une fois encore : après l’histoire du dernier survivant de l’humanité (Le dernier monde), il y a eu Bastard battle, Olimpia, So long, Luise et puis bien sûr, Faillir être flingué, le western, prix du Livre Inter en 2014.
« Huit livres éclatant d’énergie et de virtuosité langagière, si originaux qu’il n’est pas abusif d’employer déjà à leur propos le terme d’oeuvre. » Télérama.
Le grand jeu, donc, c’est le livre d’une femme qui se retire du monde et qui choisit la haute montagne pour répondre à la question : qu’est-ce que vivre ?
Cette austérité physique et spirituelle est heureusement dérangée par un autre être humain,
et c’est ici que continue le grand jeu..
« Est-ce que nous, humains, avons accès à une certaine sauvagerie du monde ? » Céline Minard, Télérama.

Frank Lanot ( La clé, Une balle de colt derrière l’oreille) questionnera notre hôte, faisons lui confiance pour nous faire passer une bonne soirée :

Mardi 11 octobre à 18h30
qu’on se le dise !

Vous pouvez-venir aussi nombreux que pour la soirée Rentrée Littéraire : on était une centaine, et tout le monde a eu à boire !

Carte blanche à Mathieu 30 septembre 2016

Soirée Carte blanche
Carole Martinez présente
Pierre Jourde
Vendredi 30 septembre 20h30
Médiathèque de Mathieu
Née en 1966, Carole Martinez,
avant de se consacrer à l’écriture, a fait plusieurs métiers. Sa
grand-mère originaire d’Espagne, concierge boulevard Montparnasse lui a
raconté la vie de ses aïeux et notamment celle de Frasquita, jouée et
perdue par son mari. Cette femme deviendra le personnage principal de
son premier roman Le coeur cousu (2007). Ce roman a reçu neuf prix dont
le Prix Renaudot des lycéens.
Pierre Jourde
« Impossible
de parcourir le monde Jourde en quelques lignes. Romancier,
pamphlétaire, voyageur, critique, universitaire, poète, boxeur,
géographe imaginaire, Jourde est tout cela successivement et parfois
même simultanément. Cygne noir, cygne blanc, il fascine et se déplace en
littérature à fleur de peau, poings en avant, sans cacher ses failles,
sa nostalgie, sa révolte, entre deux éclats de rire. Il est à mes yeux
l’un des plus grands poètes du roman  et nous aide à déchiffrer
aujourd’hui en endossant tous les rôles. »
   Carole Martinez
Lectures par Ben Walter
Séances de dédicaces avec la librairie Eureka Street (Caen)
Soirée organisée en partenariat avec la médiathèque de Mathieu

29 septembre 2016 : Soirée Rentrée Littéraire !

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

Comme tu le sais, toi qui nous suis depuis 6 ans déjà,
[l’inauguration de ta librairie à eu lieu le 18 septembre 2010 ! NDLR]
chez Eureka Street, nous avons eu une idée généreuse :
organiser chaque année une Soirée Rentrée Littéraire 
au cours de laquelle nous te présentons nos lectures de cette fin août début septembre,
mais également,
au cours de laquelle TU,
Ô Lecteur mon ami,
as la possibilité de donner
ton avis sur des nouveautés que nous te prêtons gratuitement !

Ces soirées sont, sans vouloir nous vanter, très fréquentées, c’est la raison pour laquelle, nous t’encourageons à vite passer nous voir pour les détails et les modalités de cette proposition tout à fait originale !

Rendez-vous pour notre 6e Soirée Rentrée Littéraire le jeudi 29 septembre à partir de 18h30 !!!

D’autre part, nous pouvons déjà t’annoncer deux futures rencontres dont nous ne sommes pas peu fiers :
Céline Minard (Télérama août 2016)
 
Céline Minard, après huit ouvrages inclassables et originaux, l’auteure de Faillir être
flingué
(Prix du Livre Inter 2013) sort Le Grand Jeu (chez Rivages), un roman d’aventures empreint de
philosophie stoïcienne.
Elle viendra nous rencontrer le mardi 11 octobre prochain, à partir de 18h30 !
Luc Lang (Télérama août 2016)

Quant à Luc Lang, nous aurons le plaisir de l’accueillir pour la seconde fois (Mother chez Stock 2012), le jeudi 17 novembre prochain (18h30) pour ce qui est sans doute son plus beau livre jusqu’à présent :                          Au commencement du septième jour (Stock).

Info de dernière minute, pour les amateurs de Romans Noirs :
nous avons la joie et l’honneur de recevoir… XXX (édité chez S____ _____) le XX-XX-2016 ! Dingue non ? On est pas peu fiers !
Quoi y des X dans mon texte ? Et alors !?
On a le droit de te garder une petite surprise de derrière les fagots,
Ô Lecteur mon impatient ami : n’es-tu pas d’accord ?
Et que serait la vie sans surprises, hein ?
Allez, bonne rentrée à tous, et d’ici à ces chouettes rendez-vous, n’hésite pas à venir demander conseil à tes libraires préférés ! Qu’on se le dise :
Venez nombreux !!!
 

30 juin 2016 : grande soirée « Le Livre de l’été » !

Salut à toi, Ô Lecteur mon ami !

Toi, tu sais déjà.
Tu as prévu ta soirée, acheté un carnet neuf, et astiqué ton meilleur stylo : tu es prêt !

Juste une légère inquiétude : comme nous, tu préfèrerais une belle soirée d’été plutôt qu’une pluie battante.
Comme ça, on pourrait boire un verre de Marquisette dans la cour et se rafraîchir à la pause.
Mais comme nous, tu feras avec, bien obligé…

Et puis il y a les autres, qui ne savent pas.
Qui ne savent pas encore ?

Donc, c’est le jeudi 30 juin, à partir de 18h30.

Eureka Street ? Pour ceux qui savent…
Eureka Street ? Pour ceux qui salivent devant les livres !
Qu’on se le dise !

A bientôt,
amicalement,
Bénédicte & Pierre.