Ce que la danse écrit : bienvenue aux éditions maison trouble !

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Encore un rendez-vous hors du commun dans ta librairie : nous recevons Les éditions Maison Trouble qui œuvrent à l’intersection de la danse, de la performance et de l’écriture.

Une belle soirée en perspective, en présence de l’éditrice, Barbara Coffy et ses deux premiers auteurs : Katerina Andreou, artiste associée au ccn de Caen et Bryan Campbell, chorégraphe en résidence avec Chorège CDCN.

Cette rencontre aura lieu, exceptionnellement chez Eureka Street, un samedi ; le samedi 16 novembre à partir de 18h30.
Sortez vos agendas !

Rencontre avec Thierry Weyd

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Nous t’invitons chaleureusement, le jeudi 3 octobre à partir de 18h30, à assister au récital, en avant-première mondiale, de Thierry Weyd, à l’occasion de la sortie de : HÔTEL SILENCE – LA MODIFICATION DES LIEUX – par Thierry Weyd (La Manufacture des Cactées / Cactus éditions).

À l’occasion de la parution de « La modification des lieux », huitième volume de la trilogie « UN VILLAGE, Sites & monuments – Us & coutumes », Thierry Weyd proposera un récital : « Hôtel Silence ».
Ce récital est composé d’une sélection de textes et de paysages sonores extraits de la collection : un ensemble de portraits, de situations et de paysages inspirés par la vie dans un lotissement en zone péri-urbaine, dans un village du XXIème siècle

Comme le signale le bandeau : « J’ai lu des dizaines de livres de ce genre, mais celui-là est vraiment différent ! » (Catherine Lamers, la gazette littéraire de Buis-Harcourt).

Une soirée à ne pas manquer ! Alors, à bientôt ?

C’est parti pour la course…

aux prix littéraires de l’automne !

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !
Tout est prêt pour la Rentrée Littéraire 2024 :
les libraires ont lu, les livres sont arrivés, il ne manque plus que toi !

On a vraiment besoin de toi pour continuer à faire vivre notre petit îlot littéraire.

Tu as aimé les JO et l’esprit de concorde qui régna sur la France quelques jours ?
Alors viens voir la vitrine que Bénédicte t’a concoctée !

A très vite ?

Lectures d’été : tes libraires ont des idées ! (lettre d’info du 02/8)

Salut à toi, Ô lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !
Que lire cet été ? Pourquoi pas les livres ci-dessous.
Et n’oublie pas de t’abonner à la newsletter/lettre d’info de ta librairie préférée !

Une magnifique BD sur le grand champion et petit fils d’esclave Jesse Owens
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

Alma, la liberté, le final éblouissant d’une grande trilogie.
lu par Pierre (note Eureka ****Excellent.)

«Ça n’était pas un récit palpitant et très de son temps, sarcastique ou nihiliste, raconté dans un style convulsif avec beaucoup de repères modernes. Mais il y avait là des gens qui vivaient de leur mieux les uns auprès des autres. »
Le vent léger, Jean-François Beauchemin (NC éditions)
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

Une comédie noire en forme de série B débridée
lu par Bénédicte (note Eureka****Excellent.)

Il était une fois … une réécriture ingénieuse et féministe d’un célèbre conte.
lu par Jeanne (note Eureka ****Excellent.)

100% bonnes lectures
100% coups de cœur
100% sans conservateurs ni additifs (juste un apéro de temps en temps)
des romans conseillés pour un bel été

Lectures d’été : tes libraires ont des idées ! (lettre d’info du 11/7)

Salut à toi, Ô lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !
Que lire cet été ? Pourquoi pas les livres ci-dessous.
Et n’oublie pas de t’abonner à la newsletter/lettre d’info de ta librairie préférée !

le roman de chevalerie revisité par Jaworski : une saga inoubliable.
La saga de l’été !
Jean-Philippe Jaworski est un magicien de l’écriture, bon, ok, c’est de la fantasy.
Mais il ne faudrait pas, sous ce fallacieux prétexte, passer à côté de ce grand écrivain.
lu par Pierre (note Eureka *****Inoubliable.)

Saint-Malo, le Sillon et ses villas, Cézembre et ses mystères au loin : le roman de l’été
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

une jolie comédie addictive et un peu noire
lu par Bénédicte (note Eureka ***Bien !)

un roman tragi-comique virevoltant
lu par Bénédicte (note Eureka****Excellent.)

un roman pour jeunes et grands lecteurs, à lire absolument pour comprendre l’enfer des pensionnats autochtones au Canada.
lu par Jeanne (note Eureka *****Inoubliable.)

100% bonnes lectures
100% coups de cœur
100% sans conservateurs ni additifs (juste un apéro de temps en temps)
des romans conseillés pour un bel été

La disparition d’Hervé Snout 22/03/24

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !

Ce week-end, c’est le Bloody Fleury, salon du Polar & du Mystère à Fleury-Sur-Orne.

Au milieu d’une programmation éclectique et familiale faite de spectacles (Loufock Holmes contre Spectras), de conférences (le braquage de Kim Kardashian) et de rencontres, nous attirons ton attention sur le grand écrivain-voyageur Caryl Ferey, et son Okavango bien sûr, mais aussi sur la féministe Louise Mey (choix de Bénédicte), et sur la lieutenant-colonel Marie-Laure Brunel-Dupin qui co-écrit avec Valérie Peronnet les aventures de Mina Lacan, une jeune « profileuse » de la gendarmerie.

Pourquoi on aime le roman noir :

Depuis 14 ans que ta librairie a ouvert ses portes, tu le sais, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, que chez Eureka Street, on aime énormément le roman noir.
Mais sais-tu pourquoi ?

Parce que « le roman noir entretient un rapport au réel intrinsèquement privilégié : l’enquête policière est une quête de vérité, non seulement pour le détective de fiction mais aussi pour l’écrivain, qui cherche à décrypter la société en faisant acte de dénonciation et de démystification. » [in. Roman noir et journalisme : en quête de vérité Textes réunis et édités par Myriam Roche et Émilie Guyard Presses universitaires Savoie Mont Blanc co-édition laboratoires ALTER et LLSETI]

On ne saurait mieux dire : le roman noir est une quête de vérité pour qui cherche à comprendre le monde qui nous entoure.

C’est la raison pour laquelle nous sommes très heureux de te proposer, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, une rencontre avec Olivier Bordaçarre, le vendredi 22 mars prochain :

Olivier Bordaçarre est né en 1966 à Paris. Il est écrivain, metteur en scène de théâtre, dramaturge et comédien. Il a publié une dizaine de romans, dont Dernier désir (Fayard, 2014), en cours d’adaptation au cinéma.

Il vient nous présenter : La disparition d’Hervé Snout (Denoël) paru en janvier 2024.

La disparition d’Hervé Snout est un excellent roman noir qui nous propose avec un sens consommé de la littérature, une analyse de la famille et du couple, nous dépeint la dureté du monde du travail (le travail aux abattoirs, tu connais ?), mais aussi qui nous rassure sur ce que peuvent accomplir la solidarité et l’amour.

Viens rencontrer cet amoureux de Georges Perec, ce subtil chercheur de la vérité romanesque, le vendredi 22 mars, à partir de 18h30, à la librairie Eureka Street bien sûr !

Simon Lanot, jeudi 25/01 18h30

Salut à toi Ô lectrice, Ô lecteur mon ami.e !

La première rencontre de cette année 2024 est placée sous le signe de l’engagement. En effet, nous t’invitons à une rencontre passionnante autour du livre
un « j’accuse » de l’affaire algérienne, radioscopie de la controverse autour de La Question d’Henri Alleg, dernier ouvrage de Simon Lanot, enseignant à l’université de Caen-Normandie publié aux éditions le Bord de l’eau.

Le chercheur décortique la controverse ayant suivit la parution d’un livre majeur, La Question de Henri Alleg, publié en 1958 par les éditions de Minuit.

Henri Alleg est un militant du parti communiste algérien et journaliste français, il prend la direction de la rédaction d’Alger Républicain à la suite de Camus jusqu’à la dissolution de celui-ci en 1955. Passé dans la clandestinité, il est arrêté par l’armée en 1957, écroué et torturé. C’est cette expérience qu’il pose sur papier et parvient à faire parvenir en métropole grâce à l’aide de son avocat et de son épouse. Noyade, privations, choc électriques (la tristement célèbre « Gégène »)… Alleg décrit sobrement, avec précision les sévices que lui inflige les paras dans les caves du centre de triage d’El-Biar.

La publication de ce texte par une maison d’édition prestigieuse mais non-moins militante, celle-là même qui fut fondée dans la clandestinité par Vercors en 1942 provoque un tollé dans la société française. Les intellectuels, Edgar Morin et François Mauriac en tête s’emparent de La Question pour dénoncer les exactions de l’armée française. Pour Morin, « il faut que chacun regarde la Question en face et réponde à la question posée. », le livre oblige à se positionner. Ainsi, l’ouvrage clive radicalement le débat public en France et à l’international, à tel point qu’un mois après sa parution l’État intervient en censurant l’ouvrage au motif de « participation à une entreprise de démoralisation de l’armée ayant pour objet de nuire à la Défense Nationale ». Il continue cependant de circuler clandestinement par l’entremise d’une maison d’édition suisse.

Reprenant le titre d’un article de Jean Capiévic publié en 1958, un « j’accuse » de l’affaire algérienne, Simon Lanot pose La Question comme un événement historique et littéraire à l’origine d’un bouleversement des consciences, au même titre que le texte de Zola durant l’affaire Dreyfus.

Bon début d’année et rendez-vous le 25 janvier à 18h30 !

Noël…

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !

Noël en librairie : les décos, les commandes (quelle quantité de Pavone ? Combien de Goncourt ? Et La Bête Tome 2/2, on en fait combien de La Bête Tome 2/2, hein ???), les voitures garées sur le trottoir devant la vitrine, les chansons de Noël (…) qui s’incrustent dans la tête quand on fait une pause sur le boulevard, toute cette folie consumériste :
Oui, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, tu m’as bien lu-e : Noël, c’est NOTRE MOMENT !

Quel plaisir de voir enfin la librairie pleine et les trottoirs noirs de monde ; quel bonheur de conseiller de bons livres pour tata machin ou ce superbe album pour le neveu bidule ; quel joie de retrouver encore cette année les joies du « paquetcadeau-elbow » [c’est comme le tennis elbow, une bonne douleur dans les coudes et les poignets à force, non pas de jouer au tennis, mais de faire de beaux paquets cadeaux !!!] ; quel délice de vendre des livres…
Parce-que vois-tu, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, c’est ce pour quoi nous sommes faits, et bien faits !
L’équipe de la librairie, et leurs complices, les BOBs, te souhaitent de bonnes fêtes de fin d’année.

Soirée d’ouverture de la semaine des éditions d’art mardi 28 novembre

Salut à toi Ô lectrice, Ô lecteur mon ami.e,
La semaine des éditions d’art est de retour et comme tous les ans nous accueillons la soirée d’ouverture !
Au programme :
– Rencontre avec Pascale Petit,
– Restitution du workshop « Speed Writing / Fast Publishing #07 »
– Présentation de l’ouvrage La table d’attente #07

Le workshop « Speed Writing / Fast Publishing* » a été conçu en 2017 par Thierry Weyd, Yoann Thommerel et Typhaine Garnier, dans le cadre d’un partenariat avec l’Imec autour de l’écriture et de l’édition, ainsi que dans la perspective de la création de l’Option Design, mention Éditions, de l’ésam Caen / Cherbourg, inaugurée en septembre 2018.
Ce workshop a pour ambition de permettre aux étudiant.e.s d’appréhender l’histoire de l’écriture et de la publication accélérées, et d’observer certaines méthodes d’édition rapide et de diffusion en temps réel… ou presque.
Chaque année un.e auteur.e / éditeur.e est invité.e par les organisateurs de ce projet pédagogique. L’atelier a lieu au sein de l’Imec ;  il permet ainsi à l’auteur.e / éditeur.e invité.e et aux étudiant.e.s, accompagné.e.s par un.e chercheur.se, d’explorer les archives qui pourront nourrir le projet éditorial « La table d’attente ».
Ce dispositif permet alors, en quatre jours, la réalisation d’une édition en 100 exemplaires qui se présente sous la forme d’une boîte en carton ondulé, format A6, destinée à contenir les publications réalisées par les étudiant.e.s et l’invité.e durant le workshop.
L’ouvrage édité n’est pas commercialisé : l’invité.e et les étudiant.e.s l’offrent à leurs ami.e.s ainsi qu’à des bibliothèques et centres de documentations qui suivent ce projet.
À cette édition s’ajoute parfois une expérience de lecture des textes publiés par les étudiant.e.s et l’invité.e.
Le workshop « Speed Writing / Fast Publishing* » a été conçu en 2017 par Thierry Weyd, Yoann Thommerel et Typhaine Garnier, dans le cadre d’un partenariat avec l’Imec autour de l’écriture et de l’édition, ainsi que dans la perspective de la création de l’Option Design, mention Éditions, de l’ésam Caen / Cherbourg, inaugurée en septembre 2018.
Ce workshop a pour ambition de permettre aux étudiant.e.s d’appréhender l’histoire de l’écriture et de la publication accélérées, et d’observer certaines méthodes d’édition rapide et de diffusion en temps réel… ou presque.
Chaque année un.e auteur.e / éditeur.e est invité.e par les organisateurs de ce projet pédagogique. L’atelier a lieu au sein de l’Imec ;  il permet ainsi à l’auteur.e / éditeur.e invité.e et aux étudiant.e.s, accompagné.e.s par un.e chercheur.se, d’explorer les archives qui pourront nourrir le projet éditorial « La table d’attente ».
Ce dispositif permet alors, en quatre jours, la réalisation d’une édition en 100 exemplaires qui se présente sous la forme d’une boîte en carton ondulé, format A6, destinée à contenir les publications réalisées par les étudiant.e.s et l’invité.e durant le workshop.
L’ouvrage édité n’est pas commercialisé : l’invité.e et les étudiant.e.s l’offrent à leurs ami.e.s ainsi qu’à des bibliothèques et centres de documentations qui suivent ce projet.
À cette édition s’ajoute parfois une expérience de lecture des textes publiés par les étudiant.e.s et l’invité.e.
Depuis 2017 ont été invité : Charles Pennequin, Laura Vazquez, Nicolas Tardy, Lucien Suel, Julien d’Abrigeon, Fabienne Yvert et Pascale Petit.
Cette année 2023 le septième workshop a réuni pour la première fois les étudiant.e.s du Master Éditions de l’ésam Caen avec les étudiant.e.s du Master « Métiers du livre et de l’édition » de l’université de Caen.
À l’issue de cette rencontre l’équipe a souhaité organiser un moment de restitution publique de cette expérience pédagogique singulière par les étudiant.e.s, leurs enseignant.e.s et Pascale Petit.

Ce moment convivial, qui inaugurera la « Semaine des Éditions d’Art », sera aussi l’occasion de découvrir l’actualité de notre invitée.

Pascale Petit a voyagé plusieurs années en Espagne et en Amérique latine après ses études de philosophie. Elle s’est occupée un temps, de fleurs et de papillons. Elle sait faire de la voile sur des bateaux de plus de 12 mètres et être photographiée à moins d’un mètre sans cligner des yeux au moment du flash. Dans son écriture, Pascale Petit aime mixer / transformer les genres qu’elle aborde – théâtre, roman, récit, conte, livre pour enfants, poésie. « Il y a une naïveté fringante, mêlée d’ironie cinglante » dit Alexander Dickow de cette auteure que l’on classe dans les inclassables comme tous ceux qui ont choisi de caracoler ou de passer vite les frontières par des chemins détournés. Pascale Petit vit et travaille près de Paris. Elle essaie de s’exporter. Elle anime régulièrement des ateliers d’écriture. Elle a participé au comité de rédaction de la revue Action Poétique et a été critique pour les CPP.

Alors rendez-vous le mardi 28 novembre à 18h pour cette soirée annuelle à ne pas manquer !

Eric Reinhardt jeudi 12 octobre

Sarah, Susanne, l’écrivain…et nous !

Sarah, Susanne et l’écrivain, le dernier livre d’Eric Reinhardt impressionne et bouleverse : il fait écho aux autres livres de l’écrivain, notamment bien sûr, L’amour et les forêts (Eric Reinhardt était venu dans ta librairie préférée pour parler de son livre le 4 décembre 2014 ! ).
On y retrouve une des obsessions de l’auteur, les rapports de domination dans le couple.
Sarah a raconté sa vie à un écrivain (qui en fera un roman dont l’héroïne s’appelle Susanne…) à un moment où elle avait l’impression de vivre dans un roman (d’Eric Reinhardt) :
s’avisant un jour qu’elle ne possède que 25% du logement familial malgré sa contribution active à la vie de famille et que son mari la laisse de plus en plus souvent passer ses soirées seule, Sarah tente de provoquer un choc en quittant quelques temps le domicile conjugal.
« Je rejoins la confrérie des femmes abandonnées lâchement et légalement, après des années de bons et loyaux services et d’enfantement. Mon devoir est terminé, les enfants sont élevés avec brio alors dehors maman, dehors l’épouse, pas un merci. Limogée sans le moindre égard. »
Ce livre, c’est le trajet d’une femme qui cherche à être à sa juste place, aussi douloureux que puisse être le chemin.

Sarah, Susanne et l’écrivain, c’est l’histoire de Sarah, mais il est aussi une conversation avec Sarah, mais aussi l’histoire de Susanne…et de l’écrivain…
et les questions posées s’enchainent, passionnantes, sur l’économie du couple, la création, sur la place de l’art…
« Voilà que je parle de moi, Sarah, à la troisième personne, c’est bien la preuve que ce que l’on vit parfois nous propulse dans des espaces mentaux qui font de nous, de nous tous, des personnages de fiction. On se vit et on se raconte après coup comme on vivrait et comme on raconterait l’histoire d’un personnage de roman. »
Un livre captivant, original, ludique.

Le roman est sur les listes du Goncourt, du Médicis et de l’Académie Française.

Rendez-vous le jeudi 12 octobre à 18h30 pour une rencontre exceptionnelle avec Eric Reinhardt.