Fermeture exceptionnelle

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Tes libraires ferment boutique du mardi 14 avril au samedi 19 inclus.
Un temps pour le farniente & la peinture !
Réouverture mardi 22, 10h tapantes !

Rencontre avec Alice Brière-Haquet

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Je profite de ce message pour te dire que le mercredi 23 avril, à partir de 18h30, nous aurons le plaisir de recevoir Alice Brière-Haquet à l’occasion de la sortie du Tome 11 de la série « Philonimo » : L’écureuil de James.

Si un écureuil tourne autour d’un arbre et que je le suis, qui tourne autour de qui ? Et si la réponse était : on s’en fiche ? Une fable qui dénonce les questions qui tournent en rond et nous invite à ne pas rater l’essentiel.

« Une merveilleuse collection pour apprendre et comprendre les concepts philosophiques » France Inter
« des objets intrigants !…des petits contes tout jolis écrits en rimes » Ambre Chalumeau, Quotidien

L’essentiel, c’est de ne pas rater cette rencontre, ouverte aux petits (dès 5 ans et jusqu’à 9 ans) et aux grand :
RDV mercredi 23 avril à 18h30.

Pour visualiser tous les titres de la collection, cliquez sur ce lien !

Jeudi 28 novembre : Antoine Mouton & Olivier Rohe

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Nous te proposons un seul rendez-vous, mais avec deux écrivains :
Antoine Mouton et Olivier Rohe.

Le premier a publié chez Bourgois et à La Contre allée une œuvre où le lyrisme se mêle à l’absurde et où l’humour rencontre l’épure.

Le second fait partie du collectif Inculte et ses œuvres sont publiées chez Allia principalement. Son dernier roman, Chant balnéaire, récit d’une adolescence au Liban, est un collage de sensation qui fait vivre l’éveil d’un corps, d’une langue, façonnés par l’exil et la tragédie des déchirements fratricides.

Cette fois-ci, tes libraires ont laissé la main, ce sont les étudiants de Simon Lanot en master2 de lettres qui mèneront l’entretien.

Rendez-vous le jeudi 28 novembre à partir de 18h30 !

Ce que la danse écrit : bienvenue aux éditions maison trouble !

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Encore un rendez-vous hors du commun dans ta librairie : nous recevons Les éditions Maison Trouble qui œuvrent à l’intersection de la danse, de la performance et de l’écriture.

Une belle soirée en perspective, en présence de l’éditrice, Barbara Coffy et ses deux premiers auteurs : Katerina Andreou, artiste associée au ccn de Caen et Bryan Campbell, chorégraphe en résidence avec Chorège CDCN.

Cette rencontre aura lieu, exceptionnellement chez Eureka Street, un samedi ; le samedi 16 novembre à partir de 18h30.
Sortez vos agendas !

Rencontre avec Thierry Weyd

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !

Nous t’invitons chaleureusement, le jeudi 3 octobre à partir de 18h30, à assister au récital, en avant-première mondiale, de Thierry Weyd, à l’occasion de la sortie de : HÔTEL SILENCE – LA MODIFICATION DES LIEUX – par Thierry Weyd (La Manufacture des Cactées / Cactus éditions).

À l’occasion de la parution de « La modification des lieux », huitième volume de la trilogie « UN VILLAGE, Sites & monuments – Us & coutumes », Thierry Weyd proposera un récital : « Hôtel Silence ».
Ce récital est composé d’une sélection de textes et de paysages sonores extraits de la collection : un ensemble de portraits, de situations et de paysages inspirés par la vie dans un lotissement en zone péri-urbaine, dans un village du XXIème siècle

Comme le signale le bandeau : « J’ai lu des dizaines de livres de ce genre, mais celui-là est vraiment différent ! » (Catherine Lamers, la gazette littéraire de Buis-Harcourt).

Une soirée à ne pas manquer ! Alors, à bientôt ?

C’est parti pour la course…

aux prix littéraires de l’automne !

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami-e !
Tout est prêt pour la Rentrée Littéraire 2024 :
les libraires ont lu, les livres sont arrivés, il ne manque plus que toi !

On a vraiment besoin de toi pour continuer à faire vivre notre petit îlot littéraire.

Tu as aimé les JO et l’esprit de concorde qui régna sur la France quelques jours ?
Alors viens voir la vitrine que Bénédicte t’a concoctée !

A très vite ?

Lectures d’été : tes libraires ont des idées ! (lettre d’info du 02/8)

Salut à toi, Ô lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !
Que lire cet été ? Pourquoi pas les livres ci-dessous.
Et n’oublie pas de t’abonner à la newsletter/lettre d’info de ta librairie préférée !

Une magnifique BD sur le grand champion et petit fils d’esclave Jesse Owens
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

Alma, la liberté, le final éblouissant d’une grande trilogie.
lu par Pierre (note Eureka ****Excellent.)

«Ça n’était pas un récit palpitant et très de son temps, sarcastique ou nihiliste, raconté dans un style convulsif avec beaucoup de repères modernes. Mais il y avait là des gens qui vivaient de leur mieux les uns auprès des autres. »
Le vent léger, Jean-François Beauchemin (NC éditions)
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

Une comédie noire en forme de série B débridée
lu par Bénédicte (note Eureka****Excellent.)

Il était une fois … une réécriture ingénieuse et féministe d’un célèbre conte.
lu par Jeanne (note Eureka ****Excellent.)

100% bonnes lectures
100% coups de cœur
100% sans conservateurs ni additifs (juste un apéro de temps en temps)
des romans conseillés pour un bel été

Lectures d’été : tes libraires ont des idées ! (lettre d’info du 11/7)

Salut à toi, Ô lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !
Que lire cet été ? Pourquoi pas les livres ci-dessous.
Et n’oublie pas de t’abonner à la newsletter/lettre d’info de ta librairie préférée !

le roman de chevalerie revisité par Jaworski : une saga inoubliable.
La saga de l’été !
Jean-Philippe Jaworski est un magicien de l’écriture, bon, ok, c’est de la fantasy.
Mais il ne faudrait pas, sous ce fallacieux prétexte, passer à côté de ce grand écrivain.
lu par Pierre (note Eureka *****Inoubliable.)

Saint-Malo, le Sillon et ses villas, Cézembre et ses mystères au loin : le roman de l’été
lu par Bénédicte (note Eureka ****Excellent.)

une jolie comédie addictive et un peu noire
lu par Bénédicte (note Eureka ***Bien !)

un roman tragi-comique virevoltant
lu par Bénédicte (note Eureka****Excellent.)

un roman pour jeunes et grands lecteurs, à lire absolument pour comprendre l’enfer des pensionnats autochtones au Canada.
lu par Jeanne (note Eureka *****Inoubliable.)

100% bonnes lectures
100% coups de cœur
100% sans conservateurs ni additifs (juste un apéro de temps en temps)
des romans conseillés pour un bel été

La disparition d’Hervé Snout 22/03/24

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !

Ce week-end, c’est le Bloody Fleury, salon du Polar & du Mystère à Fleury-Sur-Orne.

Au milieu d’une programmation éclectique et familiale faite de spectacles (Loufock Holmes contre Spectras), de conférences (le braquage de Kim Kardashian) et de rencontres, nous attirons ton attention sur le grand écrivain-voyageur Caryl Ferey, et son Okavango bien sûr, mais aussi sur la féministe Louise Mey (choix de Bénédicte), et sur la lieutenant-colonel Marie-Laure Brunel-Dupin qui co-écrit avec Valérie Peronnet les aventures de Mina Lacan, une jeune « profileuse » de la gendarmerie.

Pourquoi on aime le roman noir :

Depuis 14 ans que ta librairie a ouvert ses portes, tu le sais, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, que chez Eureka Street, on aime énormément le roman noir.
Mais sais-tu pourquoi ?

Parce que « le roman noir entretient un rapport au réel intrinsèquement privilégié : l’enquête policière est une quête de vérité, non seulement pour le détective de fiction mais aussi pour l’écrivain, qui cherche à décrypter la société en faisant acte de dénonciation et de démystification. » [in. Roman noir et journalisme : en quête de vérité Textes réunis et édités par Myriam Roche et Émilie Guyard Presses universitaires Savoie Mont Blanc co-édition laboratoires ALTER et LLSETI]

On ne saurait mieux dire : le roman noir est une quête de vérité pour qui cherche à comprendre le monde qui nous entoure.

C’est la raison pour laquelle nous sommes très heureux de te proposer, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, une rencontre avec Olivier Bordaçarre, le vendredi 22 mars prochain :

Olivier Bordaçarre est né en 1966 à Paris. Il est écrivain, metteur en scène de théâtre, dramaturge et comédien. Il a publié une dizaine de romans, dont Dernier désir (Fayard, 2014), en cours d’adaptation au cinéma.

Il vient nous présenter : La disparition d’Hervé Snout (Denoël) paru en janvier 2024.

La disparition d’Hervé Snout est un excellent roman noir qui nous propose avec un sens consommé de la littérature, une analyse de la famille et du couple, nous dépeint la dureté du monde du travail (le travail aux abattoirs, tu connais ?), mais aussi qui nous rassure sur ce que peuvent accomplir la solidarité et l’amour.

Viens rencontrer cet amoureux de Georges Perec, ce subtil chercheur de la vérité romanesque, le vendredi 22 mars, à partir de 18h30, à la librairie Eureka Street bien sûr !

Simon Lanot, jeudi 25/01 18h30

Salut à toi Ô lectrice, Ô lecteur mon ami.e !

La première rencontre de cette année 2024 est placée sous le signe de l’engagement. En effet, nous t’invitons à une rencontre passionnante autour du livre
un « j’accuse » de l’affaire algérienne, radioscopie de la controverse autour de La Question d’Henri Alleg, dernier ouvrage de Simon Lanot, enseignant à l’université de Caen-Normandie publié aux éditions le Bord de l’eau.

Le chercheur décortique la controverse ayant suivit la parution d’un livre majeur, La Question de Henri Alleg, publié en 1958 par les éditions de Minuit.

Henri Alleg est un militant du parti communiste algérien et journaliste français, il prend la direction de la rédaction d’Alger Républicain à la suite de Camus jusqu’à la dissolution de celui-ci en 1955. Passé dans la clandestinité, il est arrêté par l’armée en 1957, écroué et torturé. C’est cette expérience qu’il pose sur papier et parvient à faire parvenir en métropole grâce à l’aide de son avocat et de son épouse. Noyade, privations, choc électriques (la tristement célèbre « Gégène »)… Alleg décrit sobrement, avec précision les sévices que lui inflige les paras dans les caves du centre de triage d’El-Biar.

La publication de ce texte par une maison d’édition prestigieuse mais non-moins militante, celle-là même qui fut fondée dans la clandestinité par Vercors en 1942 provoque un tollé dans la société française. Les intellectuels, Edgar Morin et François Mauriac en tête s’emparent de La Question pour dénoncer les exactions de l’armée française. Pour Morin, « il faut que chacun regarde la Question en face et réponde à la question posée. », le livre oblige à se positionner. Ainsi, l’ouvrage clive radicalement le débat public en France et à l’international, à tel point qu’un mois après sa parution l’État intervient en censurant l’ouvrage au motif de « participation à une entreprise de démoralisation de l’armée ayant pour objet de nuire à la Défense Nationale ». Il continue cependant de circuler clandestinement par l’entremise d’une maison d’édition suisse.

Reprenant le titre d’un article de Jean Capiévic publié en 1958, un « j’accuse » de l’affaire algérienne, Simon Lanot pose La Question comme un événement historique et littéraire à l’origine d’un bouleversement des consciences, au même titre que le texte de Zola durant l’affaire Dreyfus.

Bon début d’année et rendez-vous le 25 janvier à 18h30 !

Noël…

Salut à toi, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e !

Noël en librairie : les décos, les commandes (quelle quantité de Pavone ? Combien de Goncourt ? Et La Bête Tome 2/2, on en fait combien de La Bête Tome 2/2, hein ???), les voitures garées sur le trottoir devant la vitrine, les chansons de Noël (…) qui s’incrustent dans la tête quand on fait une pause sur le boulevard, toute cette folie consumériste :
Oui, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, tu m’as bien lu-e : Noël, c’est NOTRE MOMENT !

Quel plaisir de voir enfin la librairie pleine et les trottoirs noirs de monde ; quel bonheur de conseiller de bons livres pour tata machin ou ce superbe album pour le neveu bidule ; quel joie de retrouver encore cette année les joies du « paquetcadeau-elbow » [c’est comme le tennis elbow, une bonne douleur dans les coudes et les poignets à force, non pas de jouer au tennis, mais de faire de beaux paquets cadeaux !!!] ; quel délice de vendre des livres…
Parce-que vois-tu, Ô Lectrice, Ô Lecteur mon ami.e, c’est ce pour quoi nous sommes faits, et bien faits !
L’équipe de la librairie, et leurs complices, les BOBs, te souhaitent de bonnes fêtes de fin d’année.